Olga, Elodie Et Philippe (2) : Les Seins DOlga
AVERTISSEMENT
Ce texte, toujours écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de celui paru le 14 octobre sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais sinspire du vécu des protagonistes. Voici donc le second épisode de ce travail en commun. Dautres suivront.
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2 - Les seins dOlga
Olga fit signe à Philippe de les rejoindre, Elodie et elle, pour un grand câlin à trois. Elodie le regarda arriver lentement, braguette ouverte, queue libre et dressée. Même dans cet état très particulier, Philippe restait élégant et classe. Quand il fut rentré dans leur cercle et que les trois corps se touchèrent, les sanglots dElodie reprirent de plus belle. Le parfum du mari était Bleu de Chanel, celui quElodie avait offert à son papa pour Noel. Ce moment dunion magique lui rappela son enfance et une image remonta de nulle part à son cerveau. Celle des émotions fortes quelle avait vécues dans son école Montessori, chaque fois que la classe se mettait en cercle.
Philippe posa ses mains rassurantes sur le visage de létudiante et il lui fit un baiser sur le front. Son regard était tendre et bienveillant.
- Chut. Calme-toi, ma petite Princesse!
Elle se sentit comme une gamine, bercée par cette voix stable et apaisée. Philippe était leau et Olga le feu. Justement cette dernière attrapa la main dElodie pour la poser sur la queue dressée de son mari.
- Tu parles dune petite Princesse, cest une vraie salope tu veux dire. Tu as vu son orgasme de folie ?
Lui, imperturbable continuait de caresser les cheveux de la blondinette, essayant de la calmer.
- Regarde-moi ces yeux de salope qui puent le sexe.
Ce nétait pas la première fois que la blondinette entendait cela, parfois de la part de voyous qui la croisaient dans la rue. Quand ça se produisait, Elodie baissait la tête et accélérait le pas, faisant comme si elle navait pas entendu.
Cette fois, tout était différent. La jeune femme frissonna, se sentant toute faible et trahie par son regard. Décidément Olga savait bien lire en elle! Quand Elodie se caressait devant un miroir, elle pouvait voir le scintillement de ses yeux et leur effervescence inhabituelle. Dans ces moments où elle se laissait aller à son excitation, Elodie était une autre, bien différente de limage de jeune étudiante timide quelle donnait en première apparence. Cest ça quOlga avait tout de suite compris.
Les mains de Philippe, avec une infinie douceur, immobilisèrent le visage dElodie et il planta son regard dans le sien. Elodie ne savait pas et ne voulait pas mentir. Elle voulait plus que tout passer inaperçue et sa spécialité était justement de tout le temps baisser les yeux. Passées les premières secondes de gêne, tandis quelle continuait à le masturber, ses pupilles parlèrent en vérité et transparence.
- Ce sont des yeux de Princesse pour moi
Philippe la laissa baisser les yeux et reposa un baiser sur son front, puis un léger et tendre baiser sur les lèvres de la jeune fille. Il avait vu les larmes lui monter et ne voulait pas lobliger à en dire plus. Cest homme était un vrai gentleman et Elodie effectivement une petite salope avec des yeux qui puaient le sexe.
- Déshabille-moi, petite.
Les doigts fins dElodie quittèrent à regret la queue du mari pour se poser sur les hanches dOlga. Philippe quitta le cercle magique et repartit tout content vers son fauteuil. Connaissant si bien son épouse hypersexuelle, Philippe savait que la soirée serait longue. Lacte deux commençait.
Depuis quelle avait deviné tout le potentiel dElodie, Olga était en feu. Elle sétait occupée de la jeune étudiante et celle-ci avait eu, sous les caresses dOlga, un orgasme dune violence inouïe. Olga nétait pas peu fière dêtre parvenue à ce résultat, alors que rien ne laissait prévoir que cette petite avait un tel talent.
Tout cela avait encore accru lexcitation dOlga. La pointe des ses tétons lui faisait mal, tellement ils étaient durs. Sa chatte était béante et elle était trempée. Ah si, à ce moment précis, il y avait eu un mâle vigoureux à proximité ! Elle aurait tendu sa croupe pour se faire baiser, pour dire la vérité pour se faire démonter. Il y avait bien sûr Philippe, son chéri. Mais ils le savaient tous deux: dans ces moments-là, il nétait pas celui qui pouvait la satisfaire. Il lui aurait fallu un étalon vigoureux, endurant, particulièrement bien doté par la nature. Quand son excitation était à son paroxysme, Olga navait pas besoin de faire lamour, mais avait une impérieuse envie de soffrir, de baiser, denchainer les orgasmes.
A défaut, il fallait que cette petite étudiante, à son tour, soccupe delle. Olga était hypersexuelle, jouir était, depuis son adolescence, un besoin vital pour elle. Depuis quà lâge de seize ans, elle avait été dépucelée par un ami de son père, Olga ne comptait pas les amants et les maîtresses.
Elle avait la chance davoir rencontré Philippe, lamour de sa vie. Philippe était candauliste. Non seulement il acceptait lhypersexualité de son épouse, mais il lalimentait en amants, la seule condition étant quil puisse être présent, assister aux ébats, être le complice et participer.
Déshabiller Olga? Elodie en avait envie depuis un moment, mais navait pas osé. Cest sans hésiter qu'elle obtempéra. Le chemisier couleur chair que portait Olga navait laissé aucun doute à Elodie dès leur rencontre devant la porte de lappartement. De la manière dont il était boutonné, il était évident que cette femme ne portait aucun soutien-gorge. Les deux boutons du haut nétaient pas fermés et cela permettait de plonger dans le décolleté et de bien deviner les seins de la belle et volcanique quadragénaire.
Elodie, dès quelle avait vu Olga, sétait dit quelle aimerait tant avoir une poitrine comme cette femme, car elle trouvait ses seins à elle un peu petits. Olga lui avait confié quelle avait du 85b, donc pas des gros seins. Elodie, qui aimait les musées, pensa que cette femme, dorigine grecque, lui rappelait ces statues dAphrodite nue qui la fascinaient tant. Olga aurait pu être la Vénus de Milo ou à l'Aphrodite de Cnide, réalisée par le sculpteur Praxitèle. Que cette femme était belle et comme elle limpressionnait!
Elodie sentait limpatience dOlga et ouvrit donc les quelques boutons qui étaient encore fermés, puis lui ôta le chemisier.
Olga avait encore sa jupe et ses seins se dressaient fièrement. Les deux femmes se rapprochèrent lune de lautre. Olga la serra avec force dans ses bras et planta ses yeux dans ceux de son amante. Elle navait pas besoin de parler, son regard transmettait son désir impérieux.
Olga couvrit le visage de la jeune étudiante de baisers, avant de mordre sa lèvre. De son côté, Elodie caressait le dos de sa maîtresse, alors que celle-ci avait les mains sur ses fesses. Olga saventura à caresser lanus dElodie, dont les joues devinrent écarlates.
- Je suis désolée chéri, il va falloir patienter. A défaut de mâle, jai envie de tant de choses de cette petite vicieuse
- Prenez votre temps, mes belles. Cest si beau, ce que vous faites.
Elodie, de son côté, caressait avec tendresse le dos dOlga. Mon Dieu, que sa peau était douce et comme Elodie se sentait apaisée, heureuse. Olga en voulait davantage. Sa main sur la tête dElodie, elle la fit descendre vers sa poitrine. Les tétons dElodie se dressaient quand elle était excitée. Mais ce quelle voyait au sujet dOlga dépassait ce qu'elle imaginait possible. Les tétons de la belle quadragénaire étaient vraiment en érection.
- Prends mes seins, Elodie !
Elodie comprit quelle se devait de la soulager. Elodie soccupa dun sein, puis de lautre. Sa langue senroula autour du téton. Olga trouva la jeune étudiante bien experte à ce jeu-là, se demandant si elle nétait pas bien plus expérimentée quelle ne voulait le laisser croire
- Mon Dieu, que cest bon! Tu me rends folle Elodie
Olga pressa la tête dElodie contre ses tétons, lobligeant à les avaler, à les goûter. Au vu de lexcitation dOlga, Elodie comprit alors quil sagissait dune zone particulièrement érogène pour Olga. Cétait même la zone la plus érogène chez Olga et qui avait fait que, il y a plusieurs années, elle sétait offerte dans lascenseur de son immeuble à un parfait inconnu, Rachid, parce que celui-ci sétait attaqué à ses tétons.
Elodie nétait pas peu fière de ce quelle était en train de provoquer.
- Hummmm
Elodie ne laissait aucun répit à sa maîtresse. Elle se mit à mordiller les tétons puis ses mains alternaient avec sa langue. Olga se tendait et son plaisir montait en flèche. Voyant leffet magique de ses caresses Elodie décida de sortir un de ses atouts. Elle se mit à téter Olga comme si elle pouvait allaiter.
La belle Olga, qui maîtrisait jusquici la situation, perdit pied en une seconde.
- Oui, narrête pas, continue! Oh chéri, cette petite garce me tue. Rarement on ne sest occupé comme ça de ma poitrine!
Elodie se rendait compte de lascendant quelle était en train de prendre. Elle redoublait defforts, ne saccordant aucun répit, alternant caresses et jeux diaboliques avec sa langue et ses lèvres.
Olga avait la tête en arrière, les yeux mi-clos, les lèvres pincées. Olga était en train de prendre son pied, simplement parce quElodie était en train de soccuper de ses seins. Elodie repartit dans un têtement de sein de folie:
- Oh, Bébé, oui, comme ça. Encore!!!!! Ouiiiiiiiii
Olga prit Elodie avec force dans ses bras. Elle venait à son tour de connaître son premier orgasme de la soirée. Elodie était fière, ravie davoir provoqué de si belles émotions.
Elle chercha le regard de Philippe un peu comme celui dune bonne élève qui vient chercher la reconnaissance de son professeur. Philippe bandait sur son fauteuil, encore plus quand il vit le regard dElodie descendre vers son bas ventre. Olga était en spasme dans ses bras et Elodie regardait cette queue comme un appel au . Philippe avança un peu son bassin pour mieux tendre sa queue vers cette petite bouche timide et ce regard qui traduisait le désir quElodie avait pour cet homme. Il lui adressa un regard complice et prometteur qui fit frissonner Elodie.
Lorgasme avait submergé Olga, comme une vague. Comme toujours dans ces moments-là, elle, qui voulait toujours tout maîtriser, se relâchait, Les traits de son visage traduisaient un plaisir qui avait été intense, infini, et même violent. Dans ces moments-là, Olga se comportait en femelle, insatiable, et qui avait besoin dautres orgasmes. Depuis des jours, Olga sentait son envie monter. Elle avait espérer que, pour ce week-end, Philippe trouve un amant qui la satisferait. Cela navait pu se faire. Olga savait quil avait activement recherché, mais le couple sétait imposé des conditions drastiques pour préserver sa réputation.
La venue dElodie était en quelque sorte inespérée et linstinct dOlga lui avait fait comprendre demblée que la jeune étudiante était bien différente de lapparence de jeune fille timide et sage quelle donnait à première vue.
Olga embrassa Elodie, posa ses mains sur ses fesses et lui dit, dun ton ferme:
- Je croyais tavoir demandé tout à lheure de me déshabiller! Tu attends quoi?
Elodie se mit à rougir. Olga avait reprit le contrôle et son ton nadmettait pas de discussion.
Elodie ouvrit la fermeture éclair de la jupe dOlga, qui tomba aussitôt. Elle sappuya sur les épaules dElodie pour se débarrasser de sa jupe. Olga était enfin nue, ou presque, puisquelle avait encore ses talons aiguille quelle portait même chez elle et qui mettait en valeur son joli cul.
Elodie resta un instant interdite devant la beauté de cette femme. Elodie admirait ses fesses fermes, ses longues jambes, ses cuisses fuselées. Et il y avait cette chatte, toujours béante, où Elodie ne pouvait manquer ces lèvres et ce clitoris toujours en érection. Elodie apprécia la toison soigneusement entretenue, en ticket de métro.
- Elle est belle ma femme, nest-ce pas, Princesse?
- Oui, murmura Elodie
- Elle te fait envie?
Elodie fit signe que oui. Elle naimait pas trop pas parler. Une fois de plus, Olga prit les choses en mains:
- Et si nous allions à un endroit un peu plus confortable pour ce que nous allons faire?
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